Un an après la crise, où en est l’activité de votre site de Craon ?
La reprise effective date de septembre dernier, après neuf mois d’arrêt du site. Nous avons investi douze millions d’euros sur le site de Craon pour stopper définitivement la production de la tour 1, renforcer la tour 2 et relever de manière significative le niveau de sécurité. La commercialisation a repris en octobre, en relation avec les services de l’Etat.
Nous en sommes au démarrage. Déjà, nous lançons une vague de vingt embauches pour la production. Nous n’avons plus qu’une tour et l’on doit retrouver des marchés perdus après un an d’absence. On ne sera pas au niveau d’avant novembre 2017.
Quels enseignements tirez-vous de toute cette affaire ?
Notre discrétion nous a pénalisés. De fausses affirmations ont été dites sur nous, à cause d’une méconnaissance de Lactalis. Nous nous sommes fait beaucoup attaquer, les collaborateurs en ont souffert. Nous devons communiquer un peu plus.
Interview complète à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 15 mars 2019.
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