Après un BTS Acse (agriculture et conduite des systèmes d’exploitation) au lycée La Futaie à Port-Brillet, Maxime Daudin s’est installé avec ses parents en 2010. « J’attendais que les parents, (Jean-Claude et Yolande) prennent leur retraite pour passer au bio. Ils étaient déjà dans le durable », explique son cheminement, Maxime Daudin, 37 ans.
Les choses se sont précipitées, en 2016, quand le papa décède. Aurélien Robert est devenu associé dans le Gaec en remplacement de Jean-Claude. « En 2017, toute la production s’est convertie au bio : vaches laitières et pommes de terre. On a obtenu l’agrément début juin de cette année. »
Des convictions humaines
Maxime Daudin est un adepte de l’agriculture bio de la première heure. « Mes études et mon salariat dans une ferme en biodynamie à Roanne (près de Saint-étienne) m’ont conforté dans cette idée. Le bio, c’est avant tout des convictions humaines. Les relations entre agriculteurs sont différentes et les échanges de savoir plus importants.
Le bio, c’est aussi une question d’éthique, d’environnement. Cela signifie produire sain... »
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 21 juin 2019.
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