Louis Michel et Joël Roncin, ex-présidents des syndicats des bassins de l’Oudon nord et sud et Régine Tiéléguine, ex-directrice du Symbolip et du Sbos ont présenté mardi 9 janvier les contours du nouveau syndicat du bassin de l’Oudon.
Depuis le 1er janvier 2018, le nouveau syndicat du bassin de l’Oudon, né de la fusion des trois syndicats historiques, est la seule collectivité qui gère l’eau sur le bassin versant de l’Oudon. Cette fusion intervient dans le cadre de la réforme des collectivités. Avec la loi NOTRe les compétences pour la gestion des milieux aquatiques et la prévention des inondations (Gemapi) ainsi que pour l’alimentation en eau potable sont désormais du ressort des communautés de communes.
Conserver un ancrage territorial
Les élus des communautés de communes qui viennent de réduire de moitié le nombre des délégués à 60 titulaires et 60 suppléants ont fait en sorte que les communes historiques soient bien représentées. « L’enjeu est de conserver un ancrage territorial suffisant », précise Louis Michel.
Autre point important, la fusion ne remet pas en cause les engagements pris, ni les actions et les programmes de travaux en cours. Les études et missions sont elles aussi maintenues et traitées par les agents des anciens syndicats. Ces derniers restent en place soit à Cossé-le-Vivien ou à Segré.
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du 12 janvier 2018.
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